Pour poser les choses, la routine beauté et moi, ça fait 2. Je ne suis pas particulièrement fan de passer des heures dans la salle de bain. Même adopter un rituel de soin visage n’est pas chose facile. Joone m’a un peu facilité la tâche en me proposant des produits qui fonctionnent bien ensemble, tout en étant sains, transparents et traçables.
Je saute le pas, je vous parle d’énergie. Ce sujet est complexe est je l’ai longtemps mis de côté. Manquant de maîtrise, j’ai préféré me concentrer sur d’autres aspects de l’écologie, et il y en a beaucoup ! Et voilà, le jour est arrivé où j’ai couvert un bon nombre de thématiques et où le thème de la sobriété énergétique est arrivé dans ma vie. Je suis heureuse de pouvoir ENFIN aborder ce sujet avec un peu de recul, de la recherche et plus de compréhension.
Cela fait un petit moment que cet article me trotte mais je ne sentais pas encore le moment de coucher les mots sur le papier de cette façon. J’ai a plusieurs reprises parlé de mon épuisement et de mon éco-anxiété, mais ce terme de burn-out militant est plus juste. Je vous explique.
Cette semaine je vous embarque dans la suite du « bug humain » avec un autre livre de Sébastien Bohler : Où est le sens ?
Le bug humain est un livre de Sébastien Bohler, journaliste scientifique, qui explore et décrit le fonctionnement d’un aspect de notre cerveau : celui qui régit nos motivations primaires et qui en veut toujours plus. Je vous propose un résumé des grandes idées, sachant que le livre est bien plus riche que ces quelques lignes.
Le Ravintsara est un arbre dont les feuilles sont connues pour leurs vertus immunitaires. On connaît surtout l’huile essentielle, une des favoris de l’hiver et des incontournables en aromathérapie. En fait, on peut aussi utiliser les feuilles de Ravintsara sous beaucoup d’autres formes ! Notamment, j’ai récemment découvert la tisane de Ravintsara qui est étonnamment délicieuse !
Voilààà, enfin je reviens sur cette thématique que j’ai laissée en berne quelques temps : la sobriété numérique ! Responsable de 4% des émissions de gaz à effets de serre, l’impact du numérique implique de mettre en place quelques bonnes pratiques !
L’année 2020 touche à sa fin, et l’heure est venue de faire un classique bilan. Sauf que celui-ci n’a rien de classique vu l’année qu’on a passée ! Et dans ce bilan, j’ai envie de parler de ce que j’appelle la dictature du bonheur.
J’utilise les culottes de règles depuis un peu plus d’un an et je dois dire que j’en suis très agréablement surprise. J’ai la chance d’avoir plusieurs modèles de plusieurs marques et aujourd’hui je vous fait part de mon avis sur les culottes de règles MOODZ. Et vous avez 10% de réduction avec mon code MOODZADDICT :)
Le Yoga, pratique de bien-être par excellence, est souvent effectué sur du matériel de basse qualité et qui peut contenir des produits toxiques et dérivés du pétrole. A présent, il existe des tapis de yoga écologiques et éthiques, fabriqués en liège et caoutchouc naturel.
Les « wraps » je les utilise maintenant depuis 7 ans. J’ai commencé par ceux en plastique, qui ont fini par s’user (et l’un a été rongé par une souris…). J’ai dû les jeter puisqu’ils étaient en plastique « 4 », plus sain mais malheureusement non recyclé en France à ce moment. Donc je me suis tournée vers les Bee Wraps, emballages en tissu et cire d’abeille.
Mon avis La Fourche après ma commande. Je suis plutôt de celles qui aime se déplacer pour faire ses achats. Et je n’avais jamais – avant aujourd’hui – acheté mes courses alimentaires en ligne ! Avec le confinement, je me suis dit que c’était le moment de tester, d’autant plus que j’avais entendu parler de La Fourche, un magasin bio en ligne à des prix moins chers.
Noël arrive à grands pas et bien que je ne sois pas pro consommation (et surtout à Noël), après l’année qu’on a passé j’ai envie de proposer cet article pour mettre en avant de petites marques, des indépendant.e.s, des personnes et projets que je connais et que je peux recommander les yeux fermés. Voici ma sélection de cadeaux de Noël 2020 !
Après l’avoir expérimenté moi-même, je ne pense pas trop m’avancer en statuant que nous vivons dans une sorte de déni collectif (et parfois individuel), sur les situations qui nous entourent. Ce déni, qui a pour objectif de nous protéger de ce qui peut être douloureux, nous empêche pourtant d’avancer durablement.