Depuis un moment, le sujet de l’alimentation me turlupine. Au fur et à mesure de mes différentes expériences, je me butte souvent à des contradictions, si bien que je ne sais plus trop quel est le vrai du faux et je m’en retrouve un peu frustrée. Petit bilan sur autour de cette question : que faut-il manger ?
Le régime flexitarien depuis 5 ans
Si vous avez suivi mon parcours, j’ai commencé à revoir mon alimentation il y a maintenant près de 5 ans, à mon retour de voyage en 2011. Ayant fait tomber les œillères sur l’industrie alimentaire, et en particulier sur l’élevage industriel, j’ai décidé de passer à un régime flexitarien. C’est un régime “flexible”, principalement végé qui inclut de la viande (comprendre viande rouge, blanche, poissons et fruits de mers: des animaux qu’on tue pour les manger quoi) de temps en temps.
J’ai commencé par souci éthique, pour la planète et les animaux, puis est venu le critère “santé”. Et oui, s’intéresser à la planète c’est aussi s’intéresser à sa propre santé ! D’ailleurs, j’ai rapidement remarqué un changement notable avec la réduction drastique de la viande dans mon alimentation: la disparition de mes allergies. J’étais devenue une éternueuse chronique et même si j’ai toujours des “phases”, cela n’a strictement rien à voir avec avant.
De flexitarienne je suis ensuite assez naturellement passé à quasi-végétarienne pendant mes deux années au Canada et au Mexique, puis j’ai poussé vers ce que j’ai nommé “flexitaLienne” (Végétalienne flexible, si vous suivez ma logique!) en intégrant des périodes de Détox qui m’ont aidé à me sentir plus en phase avec moi même, plus “connectée” si je puis dire.
Et dernièrement, je suis allée jusqu’à tester l’alimentation vivante suite à un stage en naturopathie avec Irène Grosjean. Selon elle, l’alimentation est la clé de la santé (on est ce qu’on mange), et nous sommes faits pour manger principalement des fruits, légumes, graines et oléagineux à l’état cru. Et comme je ne critique pas ce que je ne connais pas, je suis mon premier cobaye !
Que faut-il manger : quid de l’alimentation crue
Je ne suis pas passé au 100% cru, mais j’ai tenté l’expérience d’avoir une alimentation à environ 80% de cru, me laissant une “marge sociale” acceptable ;), pendant environ 6 semaines.
De manière générale, j’en retiens des choses positives car cela m’a permis de découvrir de nouvelles saveurs, d’intégrer des aliments auxquels je ne pensais pas toujours, comme les graines germées ou les légumes lacto-fermentés, j’ai pris plaisir à voir des assiettes bien colorées et à manger plus de 10 fruits et légumes par jour ! J’ai également adopté le fameux miam ô fruit de France Guillain pour mon petit déj’, qui m’a étonnement donné suffisamment d’énergie pour tenir plus de 5 heures !
Néanmoins, je sentais des baisses d’énergie dans l’après midi, j’étais toujours assez fatiguée et ce qui m’a le plus embêté, j’ai encore perdu du poids. Bon je le savais en commençant, mais ça ne m’a pas enchanté !
En ces débuts d’hiver, j’ai commencé à sentir l’envie de manger chaud et cuit, et surtout plus consistant! Je voulais reprendre du poids, profiter de ma vie sociale sans trop de contraintes et aussi varier les goûts car je commençais à me lasser. Je me suis accordé quelques excès, mais le fait de manger “moins sain” (c’est à dire des féculents et un peu de produits laitiers), me faisait culpabiliser.
J’ai réalisé que mon alimentation et mon poids devenaient un peu trop obsessionnels. Moi qui ne me pèse JAMAIS et qui ne fait jamais “attention” à ce que je mange, je me suis surprise à y accorder trop d’importance et cela ne m’a pas plu du tout! J’avais l’impression d’être mon propre gendarme, alors que j’avais tant travaillé à ne plus être trop exigeante avec moi-même.
J’ai donc voulu creuser un peu le sujet pour trouver quelque chose qui me convienne plus, mais je me suis retrouvée frustrée et égarée face aux contradictions informationnelles sur ce qui est bon ou pas pour la santé !
Que faut-il manger : la jungle de la santé
Déjà lorsque j’avais rédigé mon article sur l’alimentation végétarienne, je m’étais heurté à des avis divergents concernant l’apport en acides aminés. Certains disent qu’il faut combiner céréales et légumineuses, d’autres que ce n’est pas nécessaire.
Pendant le stage avec Irène, nous avons appris que de toute façon, toutes les céréales et tous les féculents n’étaient pas recommandés car ils “collaient” à l’estomac, gluten ou pas. A la sortie du stage, une amie publie un article sur le livre d’un naturopathe, Robert Masson, qui met en garde notamment sur le régime “tout cru”, que ce n’est pas bon pour tout le monde, ni de ne se baser que sur ça. D’autres livres de naturopathie que j’ai pu consulter parlent de combinaisons entre protéines et glucides forts ou faibles, et intègrent la possibilité de manger des produits animaux en petite quantité.
J’ai eu la curiosité d’ouvrir un livre sur l’alimentation selon le groupe sanguin, où c’est encore un autre son de cloche (je l’ai refermé direct quand j’ai vu qu’il conseillait au groupe O de manger 4 à 6 fois de la viande rouge par semaine !).
J’ai aussi commencé à regarder du côté de la cuisine ayurvédique, qui adapte l’alimentation selon un profil doshique (en savoir plus sur le blog de Cécile), et qui intègre toutes sortes d’aliments, cuits et crus. Et enfin je me suis intéressée à la médecine traditionnelle chinoise (MTC), selon laquelle les tensions émotionnelles seraient à la source de la plupart des maladies et qui recommande une alimentation qui varie selon les saisons.
Chaque type de pratique fait ses preuves, avec des personnes atteintes de pathologies plus ou moins sérieuses qui ont pu s’en sortir grâce à un type d’alimentation ou un autre, ou encore avec de l’acuponcture et des massages. D’ailleurs, cela me rappelle qu’il y avait aussi ce gars, qui a réussi à remarcher grâce au Yoga.
Donc bon, c’est fascinant tout ça; mais donc quoi ??? On est en droit de se demander, mais qui a raison, qui a tord ? Oui, je me suis légèrement pris la tête !
La place du ressenti
Pas facile de trouver son équilibre avec tout ça! Comme ça commençait un peu à me rendre folle, j’ai décidé de lever le pied pendant l’hiver, et revenir à un régime flexi, avec l’idée de faire des périodes de Détox, voire de jeûne dans le futur. Je veux avant tout me sentir bien dans ma peau et trouver mon équilibre à mon rythme, sans me frustrer ni me culpabiliser.
J’ai aussi décrété que face à tant d’avis sur la question, il n’y avait pas une seule vérité et que sans doute personne ne savait vraiment le fond de l’histoire. Car les résultats sont là, avec des méthodes différentes. Pourquoi se faire la guerre ? L’essentiel est d’être bien. Je me suis dit que j’allais m’écouter, travailler mon ressenti et faire confiance à mon bon sens. Je ne cherche pas à être parfaite. J’aime mon imperfection et ma flexibilité tout en sachant que je suis toujours prête à développer de nouvelles bonnes habitudes.
Et ce qui est drôle, c’est que lorsque j’ai pris cette décision, j’ai eu plusieurs discussions qui m’ont conforté dans cette idée. J’ai aussi enfin pris connaissance des vidéos de Thierry Casasnovas, un autre adepte du cru, grâce à ma chère Lili (retrouvez d’ailleurs son dernier excellent article sur son expérience du cru !). Au fur et à mesure des vidéos, j’ai été soulagée par sa vision très ouverte sur la question de l’alimentation.
Par exemple, il accorde une grande importance au ressenti, mais aussi au bon sens concernant un ensemble de facteurs, comme l’environnement, le mode de vie, le sommeil ou l’électronique. J’ai aussi beaucoup aimé son approche quand au “régime alimentaire idéal”, insistant sur le fait que cela dépend de chacun. C’est d’ailleurs le seul qui aborde le sujet de la maigreur, avec quelques pistes à explorer pour reprendre du poids.
Cela m’a aussi fait prendre conscience que si le stage d’Irène était très intéressant, il était un peu trop général. Car nous sommes tous uniques et même si nous fonctionnons a priori de la même façon, nous n’avons pas tous les mêmes besoins, capacités, et modes/ rythmes de vie.
Je suis convaincue que l’alimentation est clé, mais aussi que ce n’est pas le seul levier pour être bien. Il y aussi l’exercice physique, le mode de vie, le stress, le psychologique et encore bien d’autres choses.
Et le mental ?
Concernant le psychologique, Thierry Casanovas met en valeur le fait que les émotions sont liées à l’alimentation, et que la dépression par exemple peut se résoudre en changeant son régime.
De l’autre côté, en médecine chinoise on va travailler sur la libération des tensions et on arrive tout aussi bien à résoudre des cas, que ce soit des troubles psychologiques ou des maladies physiques.
J’aime me faire ma propre idée, à travers mon expérience et selon moi, les émotions et le mental sont aussi un paramètre à prendre en compte. Après tout ce que j’ai vécu l’année dernière, je pourrais difficilement le nier. Et pour avoir récemment testé des séances de massage chinois, je peux dire que pour moi, cela a été bénéfique.
Encore une fois, ne négligeons pas la magie du mental. Je me demande si ce ne serait pas pour ça que différentes techniques qui se contredisent un peu font toutes leurs preuves. Si on part de l’idée de base que chaque personne à la capacité de s’auto-guérir, comme on l’enseigne en Reiki ou en naturopathie, la guérison peut se faire grâce à plusieurs portes d’entrées qui vont parler au patient et lui donner la confiance en sa capacité à avancer. C’est une hypothèse…
Ces sujets me fascinent tellement que je ne peux m’arrêter là, je compte bien approfondir ces sujets prochainement voire suivre des formations ! To be continued…
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Bien dans son corps et dans son esprit.
Et toi, quelle est ton alimentation idéale ?
Je me retrouve tout à fait dans ton cheminement, tes propos et tes mots : « il n’y avait pas une seule vérité et que sans doute personne ne savait vraiment le fond de l’histoire » / « Je me suis dit que j’allais m’écouter, travailler mon ressenti et faire confiance à mon bon sens. » Il n’y a pas mieux à mon avis pour se sentir bien, le but de tout cela, n’est-ce pas ? :) Merci pour cet excellent article ! <3
Merci ma Lili!
Je pense qu’on est tous un peu « victimes » de l’information. A se faire tourner la tête. Mais en prenant son temps et en restant à l’écoute de SOI, on peut tendre vers SON idéal.
Bisous ma belle
Ping : Candida albicans, alimentation vivante, développement personnel... En marche vers la guérison ? - Au Vert avec Lili
Bon bah force est de constater que l’on est toujours en phase toutes les deux ! Tu poses là toutes les questions qui ont fleuri dans mon esprit quand je suis revenue en France.
Comment nettoyer mon organisme après ce « un an de grand n’importe quoi alimentaire », comment soigner mes intestins devenus véritable passoire ? Et, ensuite, quelle alimentation adoptée pour me sentir bien ?
La naturo m’a beaucoup aidé, à comprendre comment fonctionne mon corps, à cerner ses besoins, et finalement à orienter mes choix… Ah oui, j’ai arrêté d’intellectualiser tout ce que je mange aussi, ça laisse bien plus de place au plaisir ! Je continue d’expérimenter des trucs et astuces qu’on nous apprend en formation, parce que ça m’amuse et que j’adore la nouveauté, mais j’ai enfin trouvé mon équilibre alimentaire :)
Merci Ombeline! J’ai vraiment hâte de te voir et qu’on discute de tout ça! Je suis encore en phase découverte et je vacille entre l’envie de faire une formation là-dedans ou pas ;)
Mais effectivement, pas évidant de se rééquilibrer après tout ça et surtout devant tant d’infos! Mais ça vient!
Bonjour Ombeline
Par rapport à vos problèmes d’intestins « devenus une véritable passoire » vous dites enfin avoir trouver votre équilibre alimentaire… qu’avez-vous changer ?
Bonjour Patricia,
Je pense que vous avez commenté sous le mauvais article. Pour contacter Ombeline, je vous invite à lui écrire sur son site directement : https://naturoh.com/
Belle journée,
Emma
Je me retrouve pas mal dans ton témoignage. Moi aussi je me sens souvent perdue avec toutes ces informations. Après m’être intéressée au cru qui tient le gluten et le cuit pour responsables de nos mal-êtres physiques, j’ai pu lire dans la diététique ayurvédique que au contraire, il fallait, pour mon type en tout cas, privilégier le cuit… et je ne cite que deux « écoles »! A qui se fier? Je crois finalement que comme tu le dis, autant se fier tout d’abord à soi-même! Personnellement, j’ai pu constater que l’élimination (ou la restriction drastique) des produits laitiers de mon alimentation atténuait grandement certains de mes problèmes digestifs. De même, ne pas manger assez de fruits et de légumes, que ce soit crus ou cuits ne me réussi vraiment pas… Les pommes de terre et le riz me provoquent des crises d’hypoglycémie (je n’ai encore jamais rencontré personne qui soit dans le même cas et pourtant!). Alors oui, écoutons nos envies, car dès lors que nous éliminons la nourriture industrielle de notre alimentation, elles ne peuvent que refléter ce dont notre corps a vraiment besoin.
Oui c’est ça, je pense que le point de départ c’est éliminer les produits transformés, ou du moins les réduire drastiquement. Déjà là, on écarte pas mal de problèmes. Ensuite oui les produits laitiers je pense, j’ai encore du mal mais ça vient petit à petit ;)
Après comme tu dis, c’est à chacun de voir comment il se sent et manger « en conscience ». Il n’y a pas de régime idéal et cela s’adapte à chacun.
Je vais d’ailleurs me pencher plus sur la question de l’ayurvéda et voir ce que cela donne pour moi!
Merci pour ton témoignage :)
Pour revenir sur mon commentaire, un livre qui m’avait pas mal plu, sur la diététique chinoise. « La diététique des 5 éléments », de Barbara Temeli. On me l’avait conseillé et sa lecture est vraiment très intéressante. Je pense que cela pourrait te plaire.
Merci! Je vais investiguer!
J’ai beaucoup aimé tout ta réflexion sur le sujet et ta conclusion m’a beaucoup plu, je pense que tu as très bien cerné l’idée de la santé ! il n’y a pas que l’alimentation à prendre en compte même si c’est une part importante du bien-être et de la santé, les émotions, le mental, l’energie, l’environnement… tout a un impact dans la santé.
Et il y a différente manière d’arriver à rééquilibrer l’auto-guérison du corps, le chemin dépend de chaque personne et il n’y a pas de solution idéale. Chaque individu est unique!
Merci d’avoir cet article qui finalement est le plus juste de tout ce que l’on peut lire à propos de « qu’est ce qu’il faut manger ? »
Merci Mélanie!
Je suis très touchée et je suis contente que mon article t’ai paru pertinent! Ce n’est vraiment pas évident de se faire une idée et effectivement, comme il y a plusieurs facteurs à prendre en compte, il y a aussi plusieurs niveaux sur lesquels on peut agir. Avoir une alimentation « parfaite » si on vit dans le stress, que l’on se badigeonne de produits toxiques sur le corps et que l’on ne travaille jamais ses émotions risque de ne pas avoir tous les effets escomptés! Je suis plutôt de l’école de la recherche de l’équilibre, car en plus dans notre monde actuel, il est difficile d’avoir tout bon sur TOUS les plans en même temps!
J’ai commencé à me renseigner sur « l’alimentation parfaite » et j’ai bien cru que ca allait me rendre folle!
Alors j’ai décidé de partir de mes envies. Je suis de nature assez fragile, le bon coté c’est je sais assez vite quand quelque chose ne me convient pas, ou au contraire si quelque chose me manque. Ainsi, j’ai complétement suprimé le lait de vache et presque entièrement les yaourts, mais pas le fromage. J’ai aussi arrété les pates gonflées (pains, pizza et brezels) le midi, ce qui est trés efficace contre le coup de barre du début d’aprés-midi.
Mais le plus important pour moi a était d’apprendre à manger en pleine conscience, et à vraiment aprécier ce que je mets dans ma bouche. Je sais beaucoup mieux ce que j’aime.
Merci pour cet article, ca fait du bien de ire des gens qui s’intéressent à leur santé sans pour autant devenir dogmatique!
Merci Kellya! Oui et puis le thème est tellement discutable qu’avoir une opinion stricte et définie ne me conviendrai pas du tout!
Je suis ravie de voir que je ne suis pas seule à aller vers plus de conscience et moins de dogmatisme ;)
J’ai beaucoup apprécié la lecture de ton article et de savoir par quoi tu es passé, les questions que tu t’es posé, tes difficultés etc. avant de trouver ton équilibre alimentaire. Le problème de notre époque (qui est aussi un avantage !) c’est qu’on a accès à énormément d’information et que tout le monde (et n’importe qui) peut facilement diffuser ses idées… des idées bien souvent contradictoires ! Il faut donc apprendre à écouter/lire tout cela avec une oreille et un regard critiques… et comme toi je pense que le plus important est de faire confiance à son ressenti… encore faut-il être capable de faire la différence entre ce que l’on ressent et ce que l’on pense et ce n’est pas donné à tout le monde dans nos sociétés où l’on est si peu à l’écoute de nous-mêmes je trouve.
Pas toujours facile oui car ça demande d’être à l’écoute de son corps et de prendre les mesures nécessaires. Ce qui dans mon cas de grande gourmande est parfois difficile! D’ailleurs, je vais prochainement tester l’ayurveda, je te raconterai :)
Voilà des mots intelligents. J’avoue m’être prise la tête aussi sur mon alimentation, mais plus sur le côté bio/local. Trouver des aliments qui font tout en même temps c’est parfois galère, alors tout un repas ! Et si à cela on ajoute un budget serré et la notion de santé et de plaisir… Faut manger ci pour être en bonne santé et ça pour éviter tel truc… Bref, écoutons notre corps, c’est le plus important !
Merci pour cet article qui devance quelque peu mes préoccupations alimentaires et qui me rappelle combien l’écoute est importante.
Oui et surtout qu’il y a tellement de théories différentes, de nouveaux super-aliments, des gens qui « savent tout », que c’est vraiment pas facile de s’en sortir. Si c’est pour être frustré, culpabiliser et se priver, alors à mon sens ça ne sert à rien. Il ne faut pas oublier le plaisir et son bon sens. Apprendre à s’écouter et se faire confiance, c’est bien aussi ;)
I love you !
Vos mots, phrases, texte expriment parfaitement mon ressenti et mon actualité alimentaire : flexitarien (ou flexitalien, va bene cosi!).
J’aimerais vous rencontrer, mais là n’est pas le propos, quoique !
Comment ne pas naviguer dans un océan de contradictions, sinon en surfant sur les vagues des multiples solutions ?
Bien à vous,
Denis